Cet essai s’inscrit en rupture avec la conception convenue de l’Autochtone chassé de son territoire ancestral par l’Européen et par la civilisation. Il suggère plutôt que la présence autochtone sur le territoire du Québec, à l’exception notable des Mohawks dans le sud, serait à la fois liée et tributaire de l’occupation graduelle du territoire et de son développement par les Canadiens français et les Anglais, et ce, à peu d’exceptions près. La nouvelle perspective qu’avance l’auteur ‒ entre autres appuyée par une expérience unique sur le terrain et une étude historique approfondie ‒ mène à une fondamentale proposition, un audacieux projet de cohésion de grande envergure pour la nation québécoise : il nous incombe aujourd’hui, Autochtones et non-Autochtones, de nous réapproprier le droit de réfléchir librement sur les relations entre les Autochtones et la société civile québécoise. Juristes, historiens, géographes, politicologues et anthropologues, de concert avec les Autochtones, doivent ainsi repartir à zéro et construire une nouvelle relation entre les peuples ‒ et ce, sur la base de l’histoire véridique de chacun ‒ et dans laquelle les Autochtones trouveront leur place comme citoyens à part entière de la société québécoise.
Cet essai s’inscrit en rupture avec la conception convenue de l’Autochtone chassé de son territoire ancestral par l’Européen et par la civilisation. Il suggère plutôt que la présence autochtone sur le territoire du Québec, à l’exception notable des Mohawks dans le sud, serait à la fois liée et tributaire de l’occupation graduelle du territoire et de son développement par les Canadiens français et les Anglais, et ce, à peu d’exceptions près. La nouvelle perspective qu’avance l’auteur ‒ entre autres appuyée par une expérience unique sur le terrain et une étude historique approfondie ‒ mène à une fondamentale proposition, un audacieux projet de cohésion de grande envergure pour la nation québécoise : il nous incombe aujourd’hui, Autochtones et non-Autochtones, de nous réapproprier le droit de réfléchir librement sur les relations entre les Autochtones et la société civile québécoise. Juristes, historiens, géographes, politicologues et anthropologues, de concert avec les Autochtones, doivent ainsi repartir à zéro et construire une nouvelle relation entre les peuples ‒ et ce, sur la base de l’histoire véridique de chacun ‒ et dans laquelle les Autochtones trouveront leur place comme citoyens à part entière de la société québécoise.
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